Paysages naturels et urbains

Paysages naturels

Paysages naturels :  nature- fleur - couleurs

Les paysages naturels et urbains offrent généreusement leurs richesses. En fait, les formes étranges ou lisses, les couleurs éclatantes et étonnantes, les paréidolies sont autant d’observations et de découvertes… Ainsi, le régal des yeux et l’apaisement du cœur sont au rendez-vous à qui sait regarder, observer….

Ainsi, les poètes ont encensé la nature avec ses paysages aussi variés que divers, comme Lamartine ou encore Victor Hugo. Indéniablement, la nature inspire les auteurs de littérature autant que les photographes qui tentent de la sublimer en l’immortalisant. En effet, chaque saison apporte ses attraits.

Particulièrement, l’hiver, la nature montre des paysages dénudés, secs et endormis, plongés dans une grande torpeur. Les premiers frimas les poussent à se recroqueviller. Puis, plus tard, à devenir tout rabougris pour certains d’entre eux dont on suppose la mort certaine.

Dès mars, ce sont les beaux jours qui s’annoncent. Quand le printemps s’éveille, alors, les arbres bourgeonnent. Puis indubitablement, les fleurs et les feuilles éclosent avec gaieté. Du coup, les couleurs explosent et réveillent la nature. Puis, les fleurs exhalent leurs odeurs sous la caresse d’un rayon de soleil bienveillant. Tout simplement pour plaire !

En juin, l’été pousse le printemps pour prendre sa place. Alors qu’il progresse et se renforce, les chaleurs deviennent étouffantes pour tout être vivant. Le soleil assèche la terre qui se craquèle sous ses ardeurs. Puis, tous les fruits que la Terre porte, murissent et se flétrissent à grand coup de température élevée.

Enfin, l’arrivée de septembre annonce l’automne. Chacun voit sa présence avec soulagement car il s’agit désormais de voir enfin un instant de répit apparaître. Le temps s’apaise et retrouve sa douceur avec une perte d’énergie croissante. Cependant, les arbres et la végétation, lasse d’un été épuisant, s’étiolent petit à petit, pour prendre leur quartier d’hiver. C’est ainsi que la nature toute entière s’endort dans l’indifférence. .

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