EAU - La Sèvre Niortaise à la Crèche dans les Deux-Sèvres en Nouvelle Auitaine

Les quatre éléments : Eau – Terre – Feu – Air

Les quatre éléments, terre, eau, air, feu, traversent les siècles soutenus par des philosophies différentes. Leur approche diffère d’un auteur à l’autre. Les quatre éléments sont beaucoup plus complexes qu’il n’y paraît, de prime abord.

L’eau dans différents espaces naturels :

L’eau revêt plusieurs états, selon les saisons. La pluie au printemps, sous forme de giboulées. Les orages en été avec des pluies parfois diluviennes. La neige, peu fréquente dans ma région, en hiver. Elle se couche volontiers sur les sommets pour la période froide. Sur les monts les plus hauts, elle a élu domicile.

Les étangs, les lacs et les mares piègent l’eau. Au contraire, curieuse, elle s’écoule de la naissance de la rivière jusqu’à la mer qui l’accueille comme une amie, une sœur pour se fondre avec elle.

La terre : elle nourrit le vivant

La terre nourricière porte chacun de nos pas. Elle supporte nos méfaits. Elle attend avec patience de reprendre ses droits à la moindre interruption des activités humaines

La terre offre ses richesses tant que nous saurons la respecter et l’intégrer comme élément indispensable à notre vie individuellement et collectivement.

Feu : Il prend des formes différentes, selon les besoins

Le feu fascine chacun de nous, particulièrement, le pyromane. Le feu réchauffe les chaumières en hiver. Il brûle les terres trop chaudes. Il anime les fêtes avec pétarades et ses lumières colorées. Cependant, l’homme a réussi à maîtriser le feu et ce , depuis longtemps.

Vent : Il s’active de temps à autre

Le vent caressant s’invente sous une forme douce et agréable. Inversement, en colère, il se met aussi à souffler en rafales plus ou moins violentes. Selon les lieux sur la planète Terre, le vent peut devenir rageur et dévastateur jusqu’à faire de nombreuses victimes.

En plus, en soufflant, le vent façonne les arbres qui ploient sous sa force vitale. Le vent ne choisit pas ses sujets. Il touche tout ce qui est sur son passage et le contorsionne. Par coséquent, l’homme contribue aussi à modifier son environnement.